*entre dans la salle de classe vide,sa guitare qu'elle venait de récupéré avec elle*
*referme la porte*
*avait oublier sa baguette dans la salle de bain*
-Merde... tanpis.
*tanpis pour la sort d'insonorisation!*
*commence a jouer un morceau et se cale sur une table facea le fenetre ou elle fixait la lune dehors*
*se rapella d'une incantation de son pere*
*arrette de jouer, vas ouvrir la porte et tends la main*
*pense de toute ses forces a sa baguette*
-Viens!
*attends un bon moments, puis allait refermé la porte lorsqu'elle vit sa baguette arriver*
*sourit et l'attrape au vol*
*referme la porte et pointe le plafond*
*jette un sort et une voie sortir de nulle part chantait et elle joua de sa guitare par dessus*
*n'avait pas envie de chanter*
*se remet sur la table et fixe la lune et joue...*
On veut de la vitesse fragile
Des fleurs à tous les feux rouges pour freiner notre adrénaline
A grand combat de caféine
La belle parade des ondes qu'on avale à outrance
Sans rien dire, sans rien dire
On peut croire en de nouveaux jours
Dans le sillage des hommes que la raison ignore depuis toujours
On peut même jouer à être sourd
Pleurer les palais qui s'écroulent mais pas les déserts peints en rouge
On s'est laissé tomber à genoux
On s'est enlisé jusqu'au cou
Mais un mot de toi pour ma peine
Ma paranoïa sur tes lèvres
Mais alléluia le vent se lève
Sur l'enfer où je me promène
Des nébuleuses dans nos têtes explosent
As-tu goûté à la dernière nouveauté que la mort propose
Au marché des corps qu'on expose
Ce sont les vieux au plus que douteux sex-appeal qui disposent
On s'est laissé tomber à genoux
On s'est enlisé jusqu'au cou
Mais un mot de toi pour ma peine
Ma paranoïa sur tes lèvres
Mais Alléluia le vent se lève
Sur l'enfer d'où je nous surveille
J'ai donné ma vie pour partager la tienne
Bien écorché vif, je m'éveille
Mais un mot de toi pour ma peine
Ma paranoïa sur tes lèvres
Mais Alléluia le vent se lève
Cet enfer est tout ce qu'il me reste
*seche ses larmes et reposa sa guitare sur le coter*